Sept problèmes empêchent le bon fonctionnement du processus électoral en République Démocratique du Congo selon la CENI
C’est au cour d’une exposition du séminaire sur le
processus électoral tenu à Kinshasa il y a quelques jours que le Rapporteur de
la CENI Jean-Pierre KALAMBA a exposé devant le président de l’assemblée
provincial ,les députés ,les candidats députés provinciaux et autres
invités de différentes couches sociales les Sept problèmes qui sont à la base
de la disfonctionnement du processus électoral soit les élections prévues en
RDC il ya plusieurs mois sans suite.
Exposé du
Rapporteur de la CENI
Débutant par
certaines informations liées à la CENI KALAMBA à informé à l’opinion que la
CENI valide a partir de ce mardi 19 janvier la classe électorale ; cette
organe étatique a travers le financement du gouvernement a accueilli 90 Jeeps
pour le déploiement des kits de vote ce vendredi 08 janvier a poursuivi le rapporteur
de la CENI ;les 23 191 candidats députés
qui préparés déjà leurs photos pour aller vers les bulletins de vote ont fini
leur opération a renchéri JANPIERRE
KALAMBA .
Les problèmes que rencontre la CENI
Pour le mois
d’Octobre il ya eu trois démissions à la CENI : Celui du président Abbé
Apollinaire MALUMALU ;son vice président Andres PUNGWE Sombwe et la trésorière
Esther CHANTAL qui a été parmi nos problèmes a dit le rapporteur de la
CENI ; Il ya un deuxième problème lié au calendrier publié depuis le 12 Février
2015 qui prévoyait des élections couplées aux élections provinciales suivies de
23 contraintes et si l’une d’elles serait laissées on devrait s’attendre à des
percutions sur le même calendrier ; et le troisième problème , pendant que
la CENI mettait la toute dernière main sur le calendrier à 10h on a publié la
loi électorale révisée alors qu’on enregistrait encore les candidats députés
provinciaux soit problème du retard de la loi portant répartition des sièges et
ces deux élections étaient prévues être coupler pour éviter beaucoup de
dépenses; le quatrième problème est au niveau du contentieux « Candidature
doublon » suite au mauvais alignement du parti ;le cinquième problème
et le plus majeur c’est le budget, la
CENI demande un budget d’un milliards deux cent dollars Américain rabattu
jusqu'à un milliards cinq deux millions mais le même budget cause toujours problème ;
le sixième problème est le fichier qui avait déjà prévu le président de la République
et en fonction du quel on avait enregistré les candidats a connu un problème
d’enregistrement des nouveaux majeurs « toute personne qui a atteint
18 ans après 2011 » il fallait que les congolais de la diaspora votent
aussi dans les pays où ils sont ; le septième problème est la sécurité
électorale car la MONUSCO s’est déjà retirée et enfin il fallait augmenter des
appuis logistique pour couvrir des zones non accessible a expliqué le rapporteur
de la CENI tout en demandant au publique de choisir parmi les deux modes des élections
le plus bon « La CENI veut savoir si vous êtes pour la révision intégrale
ou soit celle partielle » car nous la CENI nous faisons tout pour demander
de l’aide mais sans suite car la communauté nous a dit qu’avant de nous aider
il faudra qu’elle soit rassurer des organisations des droits de l’homme si les
violations sont finies au Congo et les autres nous ont dit qu’ils vont donné de
l’aide mais qui sera uniquement consacré à l’enrôlement des nouveaux
majeurs , faudrait il faire les élections de haut vers le bas? a-t-il
conclu.
Questions et avis des participants
Je reste perplexe
suite à votre exposé monsieur le Rapporteur de la CENI, car je ne connais pas
si la CENI était venue piéger les gents ou demander leurs avis, il fallait nous
dire où serez vous actuellement avec le processus, nous lire des problèmes et présenter
vos pistes des solutions enfin d’en savoir les notre, il fallait recenser la
population avec l’entrer au pouvoir du président KABILA a déclaré JULES
Hakizumwami Président de l’assemblée provinciale. Mais pourquoi la CENI veut
elle violer l’article 10 de la constitution en enrôlant les étrangers? A demande ISIDOR Kalimira un participant à ces
assises ; Quant la CENI parle aujourd’hui du défis lié au moyen financier
elle ne savait plus qu’il aurait encore des élections en 2015 ? A voulu
savoir une autre participante SHOBOLE Matole du PLD.
Constant de l’auteur
Jusqu'ici, la Conférence épiscopale nationale
du Congo (Cenco) s'était toujours opposée à tout «
glissement » du calendrier électoral de nature à permettre à Joseph Kabila de prolonger son bail au Palais
de la nation. Sa position paraît moins tranchée en ce début d'année.
Que s’est-il passé ? Fin 2015, les évêques congolais entreprennent des consultations avec des forces vives
du pays. « Par devoir pastoral », glisse un membre de la Cenco. À la veille du réveillon de la Saint Sylvestre, ils sont reçus par le chef de l’État. Rien ne filtre de l’entretien, mais le ton des ecclésiastiques
baisse soudain d’un cran : la Cenco appelle désormais au dialogue, sans trop insister sur la tenue de la
présidentielle dans les délais constitutionnels. Elle met également en place un « comité de suivi » destiné
à « rapprocher les protagonistes de la crise et à recréer un climat de confiance mutuelle », confie une
source au sein de la structure épiscopale.
« C’est une sorte de pré médiation avant l’ouverture du dialogue », ajoute-t-elle. À l’en croire, « les
évêques s’interrogent aussi sur le maintien de la marche des chrétiens prévue le 16 février par crainte
d’une récupération politicienne ». Du pain bénit pour les autorités, qui craignaient que cette marche ne
vire à la manifestation anti-Kabila. « Les évêques reviennent à la raison après le message du pape appelant
les Congolais au dialogue », se félicite un conseiller du chef de l’État.
glissement » du calendrier électoral de nature à permettre à Joseph Kabila de prolonger son bail au Palais
de la nation. Sa position paraît moins tranchée en ce début d'année.
Que s’est-il passé ? Fin 2015, les évêques congolais entreprennent des consultations avec des forces vives
du pays. « Par devoir pastoral », glisse un membre de la Cenco. À la veille du réveillon de la Saint Sylvestre, ils sont reçus par le chef de l’État. Rien ne filtre de l’entretien, mais le ton des ecclésiastiques
baisse soudain d’un cran : la Cenco appelle désormais au dialogue, sans trop insister sur la tenue de la
présidentielle dans les délais constitutionnels. Elle met également en place un « comité de suivi » destiné
à « rapprocher les protagonistes de la crise et à recréer un climat de confiance mutuelle », confie une
source au sein de la structure épiscopale.
« C’est une sorte de pré médiation avant l’ouverture du dialogue », ajoute-t-elle. À l’en croire, « les
évêques s’interrogent aussi sur le maintien de la marche des chrétiens prévue le 16 février par crainte
d’une récupération politicienne ». Du pain bénit pour les autorités, qui craignaient que cette marche ne
vire à la manifestation anti-Kabila. « Les évêques reviennent à la raison après le message du pape appelant
les Congolais au dialogue », se félicite un conseiller du chef de l’État.
Il est à nouveau question de la révision du
fichier électoral. A moins d’un an de la fin du délai
constitutionnel pour que se tienne l’élection présidentielle, le patron de la MONUSCO, Maman Sidikou, a
rendu visite au président de la Commission électorale nationale indépendante CENI lundi 11 janvier. Il
lui a demandé d’avancer sur les aspects techniques, et notamment l’achat de kits nécessaires au
recensement électoral. Pour Maman Sidikou, ce travail technique de fond ne doit pas être politisé.
« Ne perdons pas trop de temps, C’est le rôle de la CENI de préparer les choses de façon claire,
indépendante, inclusive et crédible », a rappelé le patron de la MONUSCO, renvoyant aux partenaires
politiques, majorité, opposition, le règlement de toutes les autres questions. Une position que l’on entend
de plus en plus du côté de la communauté internationale, qui insiste sur le respect des délais
constitutionnels qui se rapprochent à grands pas.
Or, lorsque le président Joseph Kabila a officiellement convoqué le dialogue en novembre dernier, il a
évoqué la question du fichier électoral comme une question à débattre. Certains ténors de la majorité sont
même allés jusqu’à demander un recensement général de la population, ce que l’opposition refuse,
évoquant une volonté de faire glisser le calendrier électoral.
constitutionnel pour que se tienne l’élection présidentielle, le patron de la MONUSCO, Maman Sidikou, a
rendu visite au président de la Commission électorale nationale indépendante CENI lundi 11 janvier. Il
lui a demandé d’avancer sur les aspects techniques, et notamment l’achat de kits nécessaires au
recensement électoral. Pour Maman Sidikou, ce travail technique de fond ne doit pas être politisé.
« Ne perdons pas trop de temps, C’est le rôle de la CENI de préparer les choses de façon claire,
indépendante, inclusive et crédible », a rappelé le patron de la MONUSCO, renvoyant aux partenaires
politiques, majorité, opposition, le règlement de toutes les autres questions. Une position que l’on entend
de plus en plus du côté de la communauté internationale, qui insiste sur le respect des délais
constitutionnels qui se rapprochent à grands pas.
Or, lorsque le président Joseph Kabila a officiellement convoqué le dialogue en novembre dernier, il a
évoqué la question du fichier électoral comme une question à débattre. Certains ténors de la majorité sont
même allés jusqu’à demander un recensement général de la population, ce que l’opposition refuse,
évoquant une volonté de faire glisser le calendrier électoral.
La CENI demande à la primature de s’occuper du marché
Pour ce qui est des aspects techniques, l’acquisition du matériel nécessaire à la révision du fichier, depuis
les mois d’avril / mai derniers, la Commission électorale a demandé à la Primature de s’occuper de cette
passation du marché.
La Primature a, elle, répercutée cette requête au BCECO, une agence de l’Etat spécialisée dans la mise en
œuvre de projets et programmes, créée avec le soutien de la Banque mondiale.
L’option retenue avait été celle d’un marché par entente direct avec la compagnie belge Zetes pour « plus
de célérité », disait-on du côté de la Primature. Mais la CENI, dont le bureau a été renouvelé ces dernières
semaines, ne semble plus favorable à cette option.
La CENI refuse cette proposition
Dans un courrier daté du 6 janvier, en copie à la Primature, le BCECO annonce à la Commission
électorale que le processus a « atteint l’étape qui consiste à requérir l’approbation du Premier ministre ».
La dernière étape donc.
Mais l’agence étatique demande à la CENI si les équipements, les fournitures, ainsi que les sources
d’énergie répondent à ses exigences et si le système proposé par Zetes intègre la nouvelle cartographie
avec les 26 provinces.
En effet le
climat en RDC reste dominé par le même sujet qui fait l’actualité sur plusieurs
chaines des radios et des télévisions Nationales et internationales.
DANIEL Michombero
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